Le Véhicule électrique pour Tous
La Lumeneo Neoma : 4 places électrique française!
Lumeneo est connu pour sa Smera, une voiture électrique monoplace ultra compacte. La start-up française de l’automobile électrique à pourtant retardé sa commercialisation pour présenter un véhicule plus conventionnel : la Lumeneo Neoma, une petite électrique 4 places.
Au mondial, une version roadster de la Neoma a également été présenté. Zoom sur le véhicule…
La Lumeneo Neoma : 4 places pour la ville
La Lumeneo Neoma est une solution de mobilité électrique pour 4 personnes. Ultra compacte, la voiture électrique ne fait qu’1,6m de large, 1,5m de haut et 2,5m de long : Apriori assez simple à stationner. Le moteur électrique 34kW de la Lumeneo Neoma permet de rouler à 110km/h. Équipée de batteries lithium de 14,2kWh, La voiture électrique propose une autonomie de 140km.
A bord de la Lumeneo Neoma
Lorsque l’on monte à bord de la Neoma électrique, on se rend compte que les designer ont voulu jouer sur la sensation de volume : un vaste espace centrale sépare les sièges, à l’avant comme à l’arrière. Le sentiment d’espace dans un véhicule électrique aussi petit est amusant. La Lumeno Neoma se décline en roadster, concept très sympa présenté au mondial de l’auto de Paris.
Le marché de la Lumeneo Neoma
A qui s’adresse le Lumeneo Neoma? En parlant avec le directeur des ventes, j’ai compris que la Lumeneo Neoma trouvait principalement succès auprès des collectivités. On imagine le véhicule très pratique pour les flottes ou les solutions d’autopartage, en France comme à l’international. En revanche, les choses semblent plus compliquées pour le grand public : or application de niche, la Lumeneo Neoma ne semble pas pouvoir se substituer parfaitement à l’usage fait d’une petite voiture thermique. La voiture électrique reste plus chère (prix d’achat d’environ 30 000€) et à un niveau de prestations inférieure que les voitures électriques des grands constructeurs remplissant la fonction de deuxième voiture électrique familiale (comme la Renault ZOE, la Nissan Leaf et la Bolloré Bluecar). Sa principale concurrente semble être la Mia Electric.
Le jeu inégal des entrepreneurs de la voiture électrique face aux « grands »
En échangeant avec les gens de chez Lumeneo, belle start-up française de la voiture électrique, on comprend que les conditions de marché ne sont pas les mêmes que celles des grands constructeurs. Les « petits » n’ont pas accès aux mêmes fournisseurs que les « grands constructeurs » établis les raisons sont les volumes d’achat, mais on pense aussi à une barrière à l’entrée du pré carré des constructeurs automobiles établis. La voiture électrique est pourtant une belle évolution du marché automobile qui devrait permettre de rabattre un peu plus les cartes!
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11 octobre 2012 - 15 h 12 min
iNNOVONS GROUPE développe AG2050, son Conecpt Global de Mobilité Electrique, ce depuis 1999. Dès cette année là , le Protocole préconisait la recharge par échange du pack batteries.
Le premier en phase avec AG2050, c’est RENAULT et nous félicitons le Groupe. Outre l’ETAT, RENAULT était un des destinataires du fameux Protocole.
Mais ce qui intéresse aujourd’hui, c’est de vérifier que le progrès intègre bien la sphère AG2050.
Le précédent V.E. de LUMENEO avait sa spécificité de tandem. Le 4 places avec un habitacle maximisé par rapport à la surface comprise entre les 4 roues, est un critère d’intégration à AG2050.
Nous allons donc en reparler sur nos websites et notamment en BOURSE pour que LUMENEO pulse un peu plus et trouve des investisseurs.
Le prix est à côté de la plaque, mais le travail réalisé est indéniable.
Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est AG2050, entrez le code via GOOGLE.
Patrick GEFFRAULT, Consultant.
Carte de Visite: PATRiCK2050 Via GOOGLE.
2 février 2014 - 1 h 52 min
Bonjour M.,,,,,,,,en tout premier lieu, il faudrait donner à votre petite voiture électrique un look qui lui serait plus personnel et non une forme de retour en arrière, aussi, il serait peut-être bon de sortir vos idées du placard. Faire travailler des idées ne coutent rien et quelque fois çà rapporte beaucoup plus que l’on puisse se l’imaginer.Au prix que cette voiture est vendu,je peu m’en payer deux Américaines très confortable.
Allégé le fardeau du produits utilisé et faite travailler vos fournisseurs pour qu’ils puissent réduire le prix de leurs produits et allé chercher des informations dans le publique (ici au Québec on dit en Français,faite du BON MARKETING ) et vous allez réduire le prix de votre labeur de plus de 45% à un prix qui serait quand même un peut plus raisonnable pour le public car se sont eux qui vont l’acheter et non les riches qui ont la tête enfoncé dans leur pétrole et qui cherche de toutes les façons possible d’écraser ses petites industries électrique.
Bernard Choquette,,,Québec,Ca
3 février 2014 - 10 h 08 min
Erreur de cible…
Les tentatives d’investir le marché avec des VE par le bas me semble une erreur de stratégie.
Comme aux débuts de l’automobile, ce sont les clients aisés qui devraient être ciblés par des véhicules typés de luxe.
Cette catégorie d’acheteurs sont demandeurs de véhicules de prestige, qui leur permettent d’afficher leur statut social, doublé dans le cas présent de le revendication affichee d’un statut écolo.
C’est ce qui explique le formidable succes de telsa.
Pour l’usager dont les moyens sont très limités, peu de chances de lui vendre un VE bas de gamme.
Ce client est en fait le plus exigeant, et, ne va pas acheter une voiture en fonction de l’image qu’elle renvoit, mais de son usage et de son coût de possession
Et en ces domaines, le VE n’est pas du tout dans le coup.
Son usage est dramatiquement limité par son manque d’autonomie, sans que son coût en compensation soit pour le moins très largement inferieur, au contraire.
De mon point de vue, il est d’ailleurs extraordinaire que Renault se soit lancé dans l’aventure de la zoe, alors que le succès de ses modèles dacia demontrait si bien mon propos précédent.
Dacia, au départ des véhicules plutôt laids, dépourvus de gadgets, a l’image ringarde, mais, spacieux, fiables et économiques.
Bref, destinés a une clientèle qui ne se soucie pas d’image, mais de service rendu.