Le Véhicule électrique pour Tous
Nissan travaille sur un Twizy électrique amélioré
Nissan pourrait prochainement lancer un véhicule électrique ultra compact. Comparable au Renault Twizy, il devrait être entièrement fermé.
Un véhicule électrique Nissan de type Twizy
Le Renault Twizy ZE semble bien seul sur le marché des mini véhicules électriques. Révolutionnaire de par sa forme à mi-chemin entre une moto et une voiture, le quadricycle est particulier. Ses ventes sont d’ailleurs en majorité destinées à des flottes.
Le Twizy pourrait bien voir de la concurrence arriver. Nissan prépare un petit véhicule électrique avec un habitacle fermé selon Etienne Henry, responsable de la stratégie du constructeur japonais. Un atout que ne possède pas son probable futur concurrent de Renault. La constructeur nippon veut « optimiser » au maximum ce type de véhicules.
L’arrivée d’un nouveau quadricycle électrique pour relancer ce marché ?
Les ventes de la Renault Twizy ZE peinent toujours à décoller. Le fait que le quadricycle soit isolé sur le marché des petits véhicules électriques influe sur les ventes. L’arrivée d’un nouveau modèle pourrait relancer l’intérêt des quadricycles électriques.
Aucun détail sur ce « Twizy par Nissan » n’a été livré. À un prix similaire, les clients pourraient se tourner vers le véhicule le plus sécurisé. Une sécurité procurée par exemple par un habitacle. Il y a quelques jours, Renault a voulu relancer l’intérêt de son véhicule propre urbain avec une version Cargo. Pour faire face à l’arrivée de Nissan sur ce marché, Renault aurait tout intérêt à miser sur les atouts spécifiques à la Twizy.
 Et vous, Renault Twizy ou quadricycle Nissan ?
Postez votre commentaire et/ou posez une question ou un sujet sur le forum des utilisateurs de voitures electriques
5 octobre 2013 - 14 h 38 min
L’ONU a adopté deux trains de sanctions contre la Corée du Nord, en 2006 et 2009, après chaque test nucléaire effectué par le régime. Les résolutions 1718 et 1874 interdisent tout transfert vers Pyongyang d’armement lourd, de technologie susceptible d’entrer dans la fabrication d’armes nucléaires, et de matériels connexes.Ces sanctions ont été renforcées et endossées par Pékin, après l’échec de la tentative de la Corée du Nord de mettre sur orbite, le 13 avril 2012, un satellite dont le lanceur a été considéré par Washington et ses alliés comme un missile balistique déguisé. Elles ont encore été durcies après un autre tir, réussi, de fusée de Pyongyang en décembre et un troisième essai nucléaire (le 12 février).